Figures de l’île déserte: quatre récits, une lecture sémiotique
DOI:
https://doi.org/10.35499/tl.v10i1.2555Resumo
Intersection entre les mondes intérieur et extérieur, entre le réel et l’onirique, l’espace et le non-lieu, l’île littéraire procède en grande partie de l’utopie, et presque aussi souvent de la dystopie. De Homère à Houellebecq, depuis l’Île des Plaisirs d’Astérix à l’atoll terrifiant de Sa-Majesté-des-Mouches, l’île provoque l’imagination, elle suscite la rêverie créatrice et la construction de mondes possibles. En outre l’île déserte, en particulier, représente à la fois un dispositif narratif d’une grande richesse, une métaphore aux applications multiples et un objet thématique générateur de sens. Cet article propose une lecture sémiotique de la figure littéraire de l’île déserte telle qu’elle est présentée dans quatre récits : Life of Pi de Yann Martel, Hippolyte’s Island de Barbara Hodgson, Vendredi ou les limbes du Pacifique de Michel Tournier et La Isla a mediodía de Julio Cortázar.
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