Éthique de la rencontre et pensée décoloniale: écrivaines amérindiennes et subsahariennes
DOI :
https://doi.org/10.30620/p.i..v9i2.7656Résumé
Dans ce début du XXIe siècle, des écrivaines originaires de territoires perçus comme périphériques, les univers amérindien et subsaharien, revendiquent non seulement l’espace de la parole mais surtout la décolonisation et le décentrement de la pensée. Faisant partie des « Ateliers de la pensée » en Afrique (cf. Léonora Miano) ou participant à des expériences d’écritures croisées comme Aimititau ! Parlons-nous ! (2008) et Uashtessiu/Lumière d’automne (2010), dans lesquelles les écrivaines amérindiennes Joséphine Bacon et Rita Mestokosho se sont engagées, elles invitent nos sociétés à faire un travail de mémoire et à penser et construire ensemble le monde. Une démarche philosophique, politique et littéraire, nourrie par une éthique de la rencontre.Téléchargements
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