Imaginaires de la mobilité culturelle dans les écritures (trans)migrantes au Québec

Autores

  • Adina Balint

DOI:

https://doi.org/10.30620/p.i..v8i1.5197

Resumo

À l’heure de la mondialisation, comment repenser les imaginaires de la mobilité culturelle dans le contexte d’appartenances multiples et d’héritages pluriels ? À partir des années 1980, le phénomène littéraire des écritures dites de la migration apparaît comme un courant littéraire fascinant, notamment parce qu’il lie, de manière historique, l’évolution de la littérature québécoise aux grands courants de pensée de la fin du vingtième siècle, définis par le postmodernisme, le déplacement des individus et des populations et le transculturalisme. Des auteures nées à l’étranger et établies au Québec explorent des conditions identitaires qui tendent aujourd’hui à la multiplicité des appartenances et à la reconnaissance de l’altérité. En convoquant les textes de Régine Robin et les explorations de Pierre Ouellet, cet article examine le renouvellement de la littérature québécoise contemporaine, qui intègre les écritures (trans)migrantes et la circulation des idées et des savoirs dans une perspective d’ouverture au monde.

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Publicado

2018-07-19

Como Citar

BALINT, A. Imaginaires de la mobilité culturelle dans les écritures (trans)migrantes au Québec. Pontos de Interrogação – Revista de Crítica Cultural, Alagoinhas-BA: Laboratório de Edição Fábrica de Letras - UNEB, v. 8, n. 1, p. 77–90, 2018. DOI: 10.30620/p.i.v8i1.5197. Disponível em: https://revistas.uneb.br/index.php/pontosdeint/article/view/5197. Acesso em: 5 nov. 2024.